Fais-moi mal Johnny !
Un article qu'on avait pondu en 2011 mais qui trouve à nouveau tout son sens puisqu'on reparle de la fessée et des châtiments corporels.
Faut-il interdire la fessée et autres châtiments corporels ?
Une campagne contre les «violences éducatives ordinaires», lancée ce mercredi par la Fondation pour l'enfance, relance le débat entre partisans et adversaires de la fessée ou de la gifle comme «outil éducatif».
A la vue de ces images on serait tenté de répondre oui
Pauvre môme qui a l’air d’en baver en n’en retirant aucun plaisir
Et puis, en consultant les plus grands spécialistes sur internet …
On se dit qu’avoir la main leste comporte quelques avantages !
Allant encore plus loin, les cafards vous cultivent sans en avoir l’air et sans vous rougir les fesses
Fessardage
Le fessardage est une fessée méchante, une vraie punition. La pénitente a le cul nu, elle est attachée ou mise dans une position déplaisante. Pour le fessardage, la main ne suffit pas, il faut des fessoirs. Le martinet, la corde à linge doivent être utilisés. Ou bien un torchon mouillé bien essoré, une bonne tranche de viande crue, qui fait le même effet que la main sans être douloureuse pour la fesseuse. Celle-ci peut aussi prendre sa pantoufle pour corriger les fesses offertes, ou une brosse, enfin, il y a bien des fessoirs possibles pour un bon fessardage.
Les fessardages sont souvent pratiqués par la Pâtissière et la Serveuse. Elles les font précéder d'une confession de la servante, ou d'une humiliation comme de ramper ou marcher à quatre pattes.
Rarement, les maîtresses pratiquent l'urtication : la flagellation aux orties.
Au contraire, le fessouillage est une fessée tendre et maternelle.
Fessée
La fessée est la plus courante des punitions. Elle est donnée exclusivement sur les fesses, les cuisses et les mollets. Elle ne doit pas laisser d'autre trace qu'une légère rougeur. Son but n'est pas de faire mal, mais d'humilier. Il existe deux manières de fesser : le fessouillage et le fessardage.
La fessée est donnée avec des instruments appelés les fessoirs.
Elle est reçue sur la chair nue, sur les vêtements, ou sur un torchon posé sur la peau pour la circonstance.
Toutes les positions sont bonnes pour la donner, toutes les pratiques annexes sont bienvenues pour la pimenter.
Fessoir
Les fessoirs sont les instruments avec lesquels ont donne les fessées. Ce sont :
La main nue, sèche ou mouillée, voire gantée de caoutchouc.
Le martinet, à lanières en cuir.
La badine, c'est une fine baguette flexible en plastique.
Une corde à linge en plastique pliée plusieurs fois.
Un torchon mouillé et essoré.
Un tablier plié et roulé.
Une belle tranche de viande.
Une saucisse dure, ou un saucisson.
Une touillette, une cuillère, une spatule, le tout en bois.
Un attendrisseur à viande, en bois.
Une mule, une socque ou une pantoufle.
Une brosse à lessive ou à vaisselle.
Etc, toutes les idées sont les bienvenues...
Fessouillage
Le fessouillage est une manière de donner la fessée. Celle-ci est conçue comme une humiliation plus que comme un châtiment.
La fessée est donnée doucement, à la main ou avec un torchon, sur le cul nu ou bien sur le tablier ou la culotte. La servante doit être traitée comme une enfant : en travers des genoux de la fesseuse, après avoir demandé pardon. La punition pourra être entrecoupée de caresses, les fesses rafraîchies avec un torchon mouillé, etc…
Les fessouillages sont surtout faits par la Crémière et la Cuisinière. Après la punition, la servante est souvent langée ou caressée, nourrie gentiment au sein, au biberon ou à la bouillie, comme un petit bébé.
A l'inverse, le fessardage est une fessée sévère.
Et pour pas qu’on nous taxe de sales brutes et parce que certains prennent leur femme ou leur môme pour un punching ball
Chez les cafards on peut rire de tout mais quand même pas à tous les COUPS !